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Garder l’équilibre entre le pragmatisme et le perfectionnisme

Quelques pistes à explorer

L’ADN de Marakoudja se définit via quatre valeurs : le pragmatisme, la passion, la transparence et la persévérance. Dans cet article, je m’intéresse au pragmatisme qui est, selon moi, très utile dans la gestion d’un changement.

Chaque changement met en présence des forces contraires – sans pragmatisme on n’atteint pas de résultat.

Voici un extrait de ce que dit Wikipedia à propos du mot pragmatisme :

« Le pragmatisme est une école philosophique américaine. Selon son fondateur Charles Sanders Peirce, le sens d'une expression réside dans ses conséquences pratiques. […] Dans le langage courant, pragmatisme désigne, en anglais comme en français, la simple capacité à s’adapter aux contraintes de la réalité ou encore l’idée selon laquelle l’intelligence a pour fin la capacité d'agir, et non pas la connaissance. […] »[1]

Selon la perspective pragmatique, penser une chose revient à identifier l'ensemble de ses implications pratiques, car pour Peirce et ses disciples, seules ses implications confèrent un sens à la chose pensée. Les idées deviennent ainsi de simples, mais nécessaires, instruments de la pensée. Quant à la vérité, elle n'existe pas a priori, mais elle se révèle progressivement par l'expérience. »

Quels sont les freins au pragmatisme ?

Dans le cadre d’un projet, je vois régulièrement les freins suivants au pragmatisme. Ces freins s’appliquent autant à moi qu’aux autres.

Recherche de la perfection :

Il y a un dicton qui dit « le mieux est l’ennemi du bien ». Il y a aussi la loi de Pareto. Le